Ecole pour "respirer" les connaissances

ÉCOLE
DE PARENT
Le parent a besoin d’un modèle social
et d’une conviction spirituelle.

Quelques souvenirs à analyser
Bonheur de mon fils les premiers jours d’école. « J’ai fait, la maîtresse a dit, mon copain m’a fait voir, les livres sont rigolos, j’ai bien rigolé…. »
Cependant, un soir, la maîtresse parle avec sa maman pour lui expliquer qu’un « camarade » lui a fait de la peine. « On voit jamais ton père, t’as pas de père, tu t’appelles même pas comme lui ».
À cette période de ma vie professionnelle, mes emplois du temps me conduisaient à rentrer tard le soir, et je travaillais le samedi, chaque samedi.
Pour les autres enfants, les pères apparaissaient au moins le samedi. Pour mon fils, je n’apparaissais jamais au portail de l’école maternelle.
De plus, sa maman et moi, nous n’étions pas encore mariés, et B. portait le nom de famille de sa mère.
Je remercie encore aujourd’hui l’institutrice, de nous avoir alerté sur ce qui aurait pu devenir un drame, petit drame d’enfant, mais drame. « Il n’y a pas de petite querelle ! » disent les contes africains de Amadou Hampâté Bâ.
J’aurais aimé qu’une rencontre ait lieu qui aurait permis de réunir la famille de cet enfant et la mienne. Parents et enfants ensemble pour un goûter, un jeu, une promenade. Pour se connaître. Pour que mon fils B. montre son père à ce petit garçon. Pour que ce petit garçon apprenne naturellement qu’on ne dit pas n’importe quoi à n’importe qui, sans conséquence pour l’autre. Pour que le travail de l’école et de la maîtresse ne reste pas au stade du constat, mais qu’hors école, hors la présence de la maîtresse, apprendre la vie continue à chaque instant. Cela n’a pas pu avoir lieu. Après l’école plus personne n’a l’intuition qu’il y a du temps à consacrer aux enfants pour accompagner leur relation aux autres. C’est l’affaire de l’école. Après l’école, c’est l’affaire de la famille.
L’école primaire de mon fils lui laisse aujourd’hui quelques mauvais souvenirs. Assez peu comparativement aux amitiés tissées durant ces premières années de vie collective qui lui auront permis de rencontrer à l’école du village, certains jeunes adultes qui deviendront ses meilleurs amis.
L’école de quartier, l’école de village, c’est aussi la possibilité d’élargir le cercle de la famille. C’est bien une école puisque les élèves de la vie y échangent librement d’innombrables signes entre eux.
Puis il y a eu le collège. La cigarette, la drogue qui circulait. Puis l’alcool.
La maladie de la maman, longue maladie ! Depuis les dix ans de mon fils jusqu’au décès de la maman lorsqu’il avait tout juste vingt ans. Dix années de ratages scolaires, d’apprentissage dans un centre où se retrouvent plus les « ratés » de l’école « intellectuelle » que les passionnés des « arts manuels ».
Apprentissage aussi chez un patron qui a su donner de très bonnes bases professionnelles, mais pas de continuité à l’apprentissage des valeurs que notre famille avait souhaité transmettre à B. Toute l’éducation et l’enseignement familiaux se sont trouvé en rupture totale avec le formatage et les instructions du domaine professionnelle. Nous apprenions à B. à respecter le code de la route, son patron lui apprenait à « griller les stops » sans se faire prendre, pour ne pas perdre de temps entre chaque chantier. Nous expliquions à B. la patience, sa vie professionnelle lui expliquait la brusquerie « …faut que ça soit fait vite et bien… Peu à peu, la déchirure s’est produite à l’intérieur même de mon fils. Et lorsque la vie de sa maman a pris fin, il a reçu le coup suprême en plein cœur, en plein ventre. Les patrons, il les comprend mais ne veut plus les « supporter », travailler n’a plus de sens.
Il ne travaille plus.
Je voudrais aussi écrire quelques lignes sur les enfants de mes amis les plus proches. Certains, brillants et scolaires, ont poursuivi leurs études.
Quelques-uns, même parmi les meilleurs n’ont cependant pas résolu la question de leur place sur Terre et du sens à donner à la vie.
Les plus « chanceux » compenseront par une activité professionnelle rémunératrice. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’où iront-ils dans leur parcours de vie sans rien à boire dans la gourde de l’Essentiel ? Combien de drames à venir dans cette inconscience que notre monde entretient dans l’illusion et l’arrogance du tout rationnel ?
Quelques jeunes semblent avoir malgré tout avoir réussi leur scolarité et leur vie personnelle. Ceux-là ont réussi aussi une première vie affective, amoureuse, sans se « détruire » à la première déception venue. Ils ont connu le même système social, la même école que les autres. Ils avaient aussi une solidité dans leur famille, un amour de leurs parents, une connaissance de l’histoire de leur famille, des parents aimants et qui eux-mêmes s’aimaient, des grands parents suffisamment longtemps pour apprécier l’Histoire qu’ils portaient en eux pour les plus jeunes, pas de drame de la maladie ou de l’accident grave.
En clair ils savaient leurs origines, il leur avaient connu « le gâteau de connaissance » maternellement et paternellement, avant d’avoir besoin de formatages et d’instructions.

Commentaire
Quand les adultes, les parents, éduquent en comptant leur temps, ils construisent plus encore que par le dépôt d’un bulletin de vote, la société des assurances, de la surveillance, de la sécurité qu’il faudra encore renforcer demain. Ils autorisent aussi l’émergence du bataillon des spécialistes du soin mental, de la juridiction. Ils se condamnent aussi ne rien transmettre à leurs enfants qui puissent leur permettre de devenir parents le moment venu.
Le plus souvent cela advient parce que les parents de nos élèves sont aussi des consommateurs qui ne connaissent qu’une des deux composantes du temps : sa valeur astrale
Hors le temps a deux valeurs, une valeur astrale pour régler les pendules et mesurer la longueur du temps. D’autre part, le temps a aussi une valeur affective, qui lui donne son épaisseur.
Ainsi on peut mesurer la minute, et dire qu’elle est égale à la durée indiquée par soixante secondes qui se suivent chronologiquement.
Par ailleurs que dire de cette seconde qui précède le premier baiser amoureux, ou de telle autre qui précède le passage en caisse du supermarché ?
Je dis de ces deux expériences que leur « longueur » de vie en valeur absolue est d’une seconde, et que leur différence d’épaisseur est telle qu’elle sont proprement incomparables.
Lorsque deux familles ne se rencontrent jamais alors que leurs enfants sont en relation à l’école (voir ci-dessus l’exemple de mon fils en maternelle), il y a dans ces deux familles l’idée que le temps n’a pas d’épaisseur. C’est une décision à l’emporte-pièce qui n’empêche pas les adultes de vivre et de consommer, d’autant plus que le paiement de cette erreur sera à régler un jour ou l’autre par l’enfant. Les enfants payent les erreurs des parents. Jamais le contraire.
À l’âge du collège, les enfants deviennent adolescents. Ils vont devenir adultes, les différences se marquent. Il serait nécessaire de leur proposer un système équilibré d’éducation et d’enseignements, de formatages et d’instruction.
Un Centre de Formation pour les métiers marque aussi encore plus les différences ou les déficits éducatifs.
Collège et centres d’apprentis ne sont pas responsables, ni l’un ni l’autre, des déficits accumulés précédemment.
Pour l’exprimer plus clairement, je dirais que la mission de l’école primaire serait d’enseigner strictement le langage des signes (les mots, les nombres, les cartes géographiques, les codes de la musique, de la route, …) et d’éduquer. L’amour n’existe pas hors la Loi et les lois ne s’écrivent que sur les bases de la conservation et de la perpétuation de l’amour.
Le collège pourrait alors remplir son rôle d’enseignement des disciplines scolaires, et le centre d’apprentissage son rôle d’enseignement scolaire de quelques disciplines à usage professionnel, et consacrer le plus clair du temps de l’élève à la formation au métier. Des éducateurs accompagneraient la mission des professeurs en restant attentif à la méthodologie des apprentissages personnels de chacun des élèves.
Les lycées poursuivraient l’étude des disciplines scolaires ou professionnelles en veillant à préserver la santé mentale des jeunes.
Pour faire court, disons qu’en tout lieu d’école, et avec des dosages différents suivant les âges des élèves et les objectifs à atteindre, un élève devrait pouvoir s’adresser facilement à quatre personnes aux fonctions précises :
Un enseignant, un éducateur, un formateur, un instructeur.
Pourquoi ? Parce que tout au long de la vie, lorsqu’on apprend on se trouve en position d’enfant qui a besoin…. d’une mère et d’un père, bienveillants. Personne ne sait apprendre sans repères humains.

EXTRAITS DE "ECOLE ras le bol" JL BRESSON, chez thebookedition.com
J'ai écrit ce livre en conclusion à une carrière d'enseignant. Pour pouvoir être utile encore, et peut-être plus qu'avant, à la compréhension de l'apprentissage comme source de bonheur. Belle journée à ceux qui vont me lire, et au plaisir de vous lire dans vos commentaires. C'est juste ça l'école. C'est de partager.

Très intéressant...oui mais les parents...que font-ils ? Je ne suis pas tout à fait d'accord pour que l'école soit tout pour mes enfants...sans compter les dangers réels de dérive totalitaire et d'uniformisation de la pensée...

soeur louve a écrit:

Très intéressant...oui mais les parents...que font-ils ? Je ne suis pas tout à fait d'accord pour que l'école soit tout pour mes enfants...sans compter les dangers réels de dérive totalitaire et d'uniformisation de la pensée...

La dérive totalitaire c'est déjà fait puisqu'on a confié l'architecture de l'école au pouvoir politique. Donc ce n'est pas un problème à poser, c'est une question à résoudre.
L'école au sens éthymologique est TOUT pour les enfants. Il ne s'agit pas de confier les enfants à une autre école que celle de la république, il s'agit de reprendre la mesure du rôle parental dans cette école, telle qu'elle est.
Quant à l'uniformisation de la pensée, c'est fait aussi. Seuls les parents peuvent apporter une petite touche différente, pour peu qu'ils la portent en eux, et que ça parle d'autre chose que de consommation et de manière plus générale de l'autre comme étant un ennemi;
MA PENSÉE, DÉVELOPPÉE PLUS LONGUEMENT DANS MON LIVRE EXPRIME EXACTEMENT CE QUE VOUS SEMBLEZ SOUHAITER, UN ROLE AFFIRME DE CHAQUE PARENT.
Au plaisir de vous lire,
Cordialement Jean-Louis

D'accord, j'ai mieux compris, merci :-)
Et dans le cas de parents défaillants ?

Il est clair que notre société de consommation actuelle ne privilègira (comme on écrit ça encore!LOLOLOL) pas un homme épanoui,un homme "entier" mais plutôt un homme robotisé,abruti par du flan pour l'empêcher de réfléchir,car un homme qui réfléchi est un homme qui sort du troupeau des gentilles brebis bien dociles.Regardez comment le monde tourne,il n'est que le résultat du cadeau que nous offre celle-ci ("nous" y compris puisque nous faisons partie de celle-là) ,ce qui n'est sans doute pas un mal puisque cette société se dévoile de plus en plus incohérente....et lorsqu'il y a incohérence,il y a pour la plupart "réflexion".

Je te remercie Jean-Louis pour la présentation de ce livre et merci de nous partager dans celui-ci (que je n'ai pas lu mais qui se présente très intéressant,j'avais déjà été jeter un petit coup avant!hihihi) ta réflexion de toutes ces années sur le terrain du monde scolaire.

PS:si il y a d'autres livres que tu désires nous partager,qu'ils s'agissent de tes ouvrages ou non,il y a une section spéciale ici:

https://ametconscience.forumactif.com/f136-le-petit-coin-litterature

Pour celui-ci,tu as parfaitement choisi le bon emplacement même si je ferai un doublon dans l'autre rubrique au cas où d'autres personnes seraient intéressées par l'ouvrage en passant à côté de ce post!

Citation :

Quelques-uns, même parmi les meilleurs n’ont cependant pas résolu la question de leur place sur Terre et du sens à donner à la vie.
Les plus « chanceux » compenseront par une activité professionnelle rémunératrice. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’où iront-ils dans leur parcours de vie sans rien à boire dans la gourde de l’Essentiel ? Combien de drames à venir dans cette inconscience que notre monde entretient dans l’illusion et l’arrogance du tout rationnel ?

Ce sujet est tout à fait en accord avec la conversation que j'ai eue,pas plus tard que hier,avec mon filleul âgé de 24 ans.
Les jeunes sont de plus en plus en marge avec la société et pour cause!!!!N'est-ce pas eux qui construiront le monde de demain?
Apprenons non seulement à les entendre mais aussi à écouter ce qu'ils ont à nous dire,même si ils se montrent à vos yeux fainéants,en colère,sans motivation ou pas comme il faut,toujours sous votre regard et jugement personnels ce qui ne vous donne pas nécessairement raison.

Bien que mon filleul rencontre des difficultés matérielles et autres à se lancer pleinement dans la vie comme il le désirerait ,même si il pense que rien ne bouge,je vois et ressens qu'il grandit en maturité,il ne se construit pas encore de l'extérieur mais de l'intérieur,il sera ainsi en mesure de jouir et de savourer pleinement de sa vie future,ce dont je n'ai pas hésité à lui faire part.
Qu'il garde patience et courage car un jour il trouvera l'issue de ce labyrinthe qui se montre actuellement sans fin,il finira par trouver le chemin,son chemin.

Avant hier au mariage de son frère,son parrain vient le trouver.Il ne voit celui-ci qu'une fois au bout d'une lune,par hasard et non par plaisir de prendre des nouvelles de son filleul mais cela ne l'empêche pas de le prendre pour le dernier des abrutis et de le lui faire bien sentir et ce même,le jour du mariage de son frère....

Le parrain me dit "C'est incroyable comme ce jeune vit hors de la réalité (quelle réalité?),je ne comprends pas (on ne comprends pas mais on juge et on agresse),moi à son âge,j'étais marié,indépendant et deux enfants.je n'ai rien dis mais n'en pensais pas moins....

Pour que mon, filleul ne se prenne pas toujours tout et n'importe quoi en pleine poire,je lui apprends à prendre du recul sur tout ça et trouver la réaction la plus bénéfique pour lui car ce jeune n'a pas besoin d'être cassé,il l'est déjà,il a le besoin d'être épaulé,encouragé,aimé et soutenu.Voici venu le temps pour lui d'apprendre ses réelles valeurs humaines personnelles,qui ne sont pas des moindres et le plantage en toute beauté de son parrain fut d'un très bel exemple.

"Il se permet de critiquer et juger les "autres" mais qu'a-t-il fait de concret dans sa vie si ce n'est que de courir après l'illusion qui ne l'a jamais mené au final qu'à de l'insatisfaction?Oui,il a pris des risques il a foncé dans la vie aveuglément,à la manière qui est la sienne....que pense-t-il aujourd'hui de la vie,est-il satisfait de son parcours?non car le même soir je l'ai entendu dire à ma mère "Elle est dure la vie marraine....je suis fatigué,je suis las.....".
Il a dû manquer de voir quelques points important pour vivre une vie sereine,ce que son filleul,gros pourri en manque d'ambition est en train de tisser actuellement."

Au final qui est en mesure de donner des conseil?....le filleul aurait tellement à lui apprendre!

Mais faut que mon petit se protège de tout ça et qu'il ne se laisse plus déstabiliser par des choses qui n'ont aucune importance.
Que chacun vivent dans sa réalité et qu'il la vive bien et sa vie sera ainsi parfaite.

Je te remercie Jean-Louis d'avoir ouvert un sujet aussi intéressant et toutes mes félicitations pour tes ouvrages!

De tout coeur merci pour ces encouragements à écrire. Je pense vraiment ce que j'écris, c'est travaillé au crible de toutes les réalités que j'ai eu à rencontrer, en particulier chez les élèves. Les adultes oublient si vite qu'ils ont eu des rêves; eux aussi! Bravo à vous pour le réconfort que vous apportez à votre filleul. Bien entendu c'est sa génération qui porte la suite du monde, bien entendu qu'il lui faut entendre qu'il EST totalement et de plein droit LUI MEME.
Comment imaginer le monde si on ne s'imagine pas soi-même. Pour le monsieur qui fait des réflexions adolescentes, je veux vous dire ma prière pour que ses yeux s'ouvrent avant qu'il ne rencontre d'autres tragédies plus grandes, si grandes qu'il ne les a même pas imaginées.
Je suis de tout coeur aussi avec ceux
des vivants qui sont dans l'illusion d'une vie toute tendue vers l"'AVOIR, en oubliant d'ETRE.
Très cordialement. Jean-Louis

Merci de votre réponse Jean-Louis et pour vos bonnes pensées pour tous dont je vous rejoins totalement,ils sont ce que nous étions "hier" et deviendrons ce que nous sommes "demain".

L'éducation des enfants est un sujet qui de toute façon, quoi que l'on fasse ou ne fasse pas, fera polémique

Quelque soit la façon que nous aurons de leur inculquer nos valeurs, il faut qu'ils s'intègrent au modèle de vie général, et c'est bien là que le bas blesse.
Ma fille m'a reproché de l'avoir éduquée à être trop gentille, si bien qu'elle ne savait pas se défendre face aux gamins dont les parents avaient moins de scrupules et se fichaient totalement des agissements de leur progéniture
si bien que sur la 2e moitié du collège, elle a décidé d'agir en fonction de son environnement et ne s'est plus laissée faire

tout ça pour dire que quelque soit notre idéal, il ne sera malheureusement pas celui de la majorité, et nos enfants auront du mal à s'insérer dans la vie imposée par les stressés, les vénales, les tyrans et les autres...

Je me prends moi aussi à rêver de ce monde idéal ou la fraternité sera au programme, où l'amour des autres et de soi seront les maîtres mots de l'éducation de nos petits.
Utopie ou réalité future ?

manae a écrit:

L'éducation des enfants est un sujet qui de toute façon, quoi que l'on fasse ou ne fasse pas, fera polémique

Quelque soit la façon que nous aurons de leur inculquer nos valeurs, il faut qu'ils s'intègrent au modèle de vie général, et c'est bien là que le bas blesse.
Ma fille m'a reproché de l'avoir éduquée à être trop gentille, si bien qu'elle ne savait pas se défendre face aux gamins dont les parents avaient moins de scrupules et se fichaient totalement des agissements de leur progéniture
si bien que sur la 2e moitié du collège, elle a décidé d'agir en fonction de son environnement et ne s'est plus laissée faire

tout ça pour dire que quelque soit notre idéal, il ne sera malheureusement pas celui de la majorité, et nos enfants auront du mal à s'insérer dans la vie imposée par les stressés, les vénales, les tyrans et les autres...

Je me prends moi aussi à rêver de ce monde idéal ou la fraternité sera au programme, où l'amour des autres et de soi seront les maîtres mots de l'éducation de nos petits.
Utopie ou réalité future ?

REALITE ¨ÄRCEQU ON LE VEUT AINSI, c'esrt sa notre liberté.