L'aspartame est extremement naturel disent les fabricants....
L'aspartame est principalement constitué de méthanol (10%) et de deux acides aminés, l'acide aspartique (40%) et la phénylalanine (50%). Les industriels se plaisent à répéter que ces deux dernies composants se trouvent dans certains produits naturels, mais ils cachent soigneusement que, dans ce cas, ils sont melés à d'autres acides aminés dans une longue et complexe chaine de proteines qui les rend inoffensifs. Ce n'est pas le cas de l'aspartame.
L'acide aspartique est un produit de synthèse, issu de la chimie des laboratoires.Lorsqu'il est séparé des autres acides aminés, il se transforme en excitotoxines, molécules toxiques qui stimulent les cellules nerveuses au point d'endommager la santé.
De son côté, la phénylalaline est dangereuse pour ceux qui sont atteints de phénylcétonurie (maladie génétique hereditaire des personnes qui n'ont pas l'enzyme permettant de métaboliser la phénylalanine), mais certaines de ces mises en garde ont disparu des notices depuis que l'aspartame a été approuvé pour l'usage général. Or, l'aspartame libère ce composé lors de sa digestion dans l'intestin.
En outre, l'ingestion d'aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbone, peut provoquer une élévation de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de phénylcétonurie. En effet, on a pu observer chez nombre de gens en bonne santé des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang après l'absorption de fortes doses d'aspartame au cours d'une longue periode.
Le Dr. Louis J. Elsas, professeur de pédiatrie et génétique à l'université d'Emory, a déclaré : " En excès ces niveaux peuvent amener une déperdition de sérotonine conduisant à des désordres émotionnels tels que la depression. Il a été démontré que les niveaux de phénylalaline dans les ang étaient accrus d'une façon significative par effet d'accumulation chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l'aspartame."
S'unissant au Dr. W. Pardridge, neurologiste et endocrinologue de l'Ecole de Médecine de Californie (UCLA), le Dr. Elsas a accusé l'industrie alimentaire et l'industrie des boissons de vouloir "blanchir" l'aspartame en "négligean les inquietudes concernant la santé, en manipulant les études et en offrant aux critiques des diners bien arrosés".
Les deux médecins ont précisé : "L'industrie de l'aspartame s'efforce de nous faire croire qu'il faudrait boire 100 canettes de boissons à l'aspartame par jour pour en être affecté et trouve un écho chez les consommateurs qui refusent d'être avertis et se réfèrent aux études à court terme, parrainées par l'industrie, en ignorant les études réalisées par des scientifiques indépendants et leurs collègues. Les clients s'en remettent à des sites, des organisations, des fondations qu'ils croient "fiables" mais qui sont soutenues et financées par les firmes productrices d'aspartame."
Quand au methanol (alcool méthilique), incolore, inflammable, extrait du goudron de bois brûlé, il est extremement toxique (la dose mortelle pour un adulte est de 2 cuillerées à café). Il est vrai qu'il est aussi présent dans certains fruits et légumes comme les tomates, cependant on ne trouve jamais de méthanol dans les produits naturels sans qu'il n'y ait simultanément de l'éthanol et de la pectine qui empechent le méthanol d'être métabolisé en formaldéhyde puis en acide formique, qui sont tous deux des toxines mortelles. L'ethanol, que l'on trouve en abondance dans les fruits, est l'antidote naturel du méthanol. Mais l'aspartame n'en contient pas, ce qui permet au méthanol de se transformer en formaldéhyde.
L'acide formique est un poison qui provoque l'acidose métabolique, il est inoculé par les piqures de fourmis rouges.
Le formaldéhyde, qui servait autrefois à embaumer les morts et à conserver les spécimens de laboratoire, n'est plus utilisé à ces fins depuis qu'on a prouvé son action carcinogène. Il est classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l'arsenic, ce qui n'empêche qu'on le trouve encore dans la plupart des vaccins, comme le DTP, le GenHevac B et bien d'autres.
Le formaldéhyde crée egalement des dommages dans certaines proteines des cellules comme les enzymes, microtubules et autres, et il semble que, même à des concentrations négiligeables, il peut détériorer d'ADN, accroitre l'activité carcinogène et générer des effets mutagènes. On a aussi constaté que lorsqu'elle arrive dans l'estomac, la molécule d'aspartame elle-meme transforme les composés ammonicaux en composés nitreux, ce qui peut entrainer un carcinome dans les intestins.
Le méthanol est considéré comme un poison cumulatif à cause de son faible degré d'élimination après absorption. La limite acceptable serait de 7,8 mg par jour. Or un litre de boisson à l'aspartame contient environ 56 mg de méthanol et certains utilisateurs de ces boissons en consomment plusieurs litres par jour. Le Dr. Woodrow C. Monte précise à ce sujet : "Lorsque les sodas et les boissons sucrées avec l'aspartame sont utilisés pour remplacer la perte de liquide pendant l'exercise physique dans les climats chauds, la concentration de méthanol peut dépasser 250 mg par jour, c'est-à-dire 32 fois la dose-limite recommandée par l'Agence de la Protection environnementale pour ce poison cumulatif.
L'aspartame est stable à l'état sec ou congelé mais il se dégrade et perd son pouvoir sucrant au fil du temps, lorsqu'il est conservé dans des liquides à des températures élevées. En outre, il devient un poison qui peut être mortel à court termes s'il est exposé à des températures excédant 30°C degrés, bien que la FDA (FOOD AND DRUG ADMINISTRATION) ait approuvé son usage dans la cuisson en 1993. Il suffit donc que les bouteilles de Coca-Cola "light" séjournent qq heures dans un entrepôt ou un véhicule non réfrigéré et exposé au soleil pour qu'elles deviennent trés toxiques. Or plusieurs milliers de palettes de boissons "light" ont été envoyées aux militaires qui participaient au Koweit et en Irak à l'opération "tempete du desert". Des soldats ont manifestés des symptomes identiques à ceux de l'empoisonnement par l'aspartame.
On a découvert aussi que l'intoxication au méthanol reproduit les symptomes de la sclérose en plaques, d'où les erreurs parmi les diagnostics de sclérose en plaque. La sclérose en plaque n'est pas mortelle, mais l'intoxication au méthanol l'est. Pour le cas du lupus systémique, nous observons qu'il s'est presque autant répandu que la sclérose en plaque, particulièrement chez les consommateurs de Coca-Cola light et de Pepsi Light.
à suivre!