Quelques poêmes

je vous mets quelques poêmes de ma composition



Que vois—tu dans mes yeux, la vérité des mots qui chantent l’amour, moi dans les tiens, je vois ma raison d’être. Amoureux, malheureux, être deux c’est sérieux, en écrire tout un roman, c’est fascinant, car j’ai encore un long chemin à parcourir qui mène vers toi, un excursion dans la jungle des sentiments oubliés, une escapade traversant la savane des gestes sauvages. Découvrir le vrai visage de la vérité surpeuplée de rêves imaginaires et irréels.




Tu es ma raison de vivre, ma rose des vents, quand tu n’es pas la ton regard craquant me rend le coeur ivre et ce soir j’ai le blues de toi, car j’ai tant de chose à dire, seul ce n’est pas le rêve, une torture aux sentiments qui met les gens au rang des oublies parce que l’amour est un feu de bois qui s’enflamme et s’en va aussi vite qu’il est venu. Parfois, la vie nous fait l’esclave de nos souvenirs, des mots partagés autrefois même en plein coeur de l’hiver.




Ton bonheur embrase, enflamme les ailes du bonheur puisé au fond de notre coeur tels le soleil couchant qui illumine de ses lueurs rouges le ciel. Ton amour efface les traces des tortures infligeaient par la colère du tonnerre qui gronde et menace les êtres qui te son chers. La loyauté est aussi puissante que la lave d’un volcan qui se déchaîne et ravage tout sur son passage. Tes sentiments sont plus grands et ne s’envolent plus dans le vent comme ceux des enfants. Ta fierté est démesurée par tant de baisers reçus, donnés et volés par tes tendres années.



Avec toutes les larmes de l’univers, je composerais des vers qui s’éparpilleraient sur terre et s’envoleraient dans les airs. Avec toutes les larmes de la terre, je noierais les armes de guerre qui on tué nos pères, nos mères, nos soeurs et nos frères. Avec toutes les larmes du monde entier, je donnerais à boire aux déshérités qui n’ont que leurs yeux pour pleurer. Avec toutes les larmes de l’univers, de la terre et du monde entier réunies, j’aimerais voir l’amour grandi dans tous les pays.





Dans la forêt et dans un tout autre endroit où il y a des arbres, quand le vent souffle d’un certain coté, on a l’impression que les branches de noisetiers et des châtaigniers chantent en coeur la douceur d’une chanson, une symphonie qui nous réconforte dans la souffrance et la douleur. Un air qui raconte en quelques vers que l’univers peut être fier de la force de la nature qui écoute nos prières et renforce les sentiments dans un monde où l’on cultive la terre pour embellir les espaces verts et voir dans le ciel des poèmes qui disent “je t’aime”.




On ne cueille pas l’amour, comme on cueille une fleur, on le prend comme on le ressent, il y a mille raisons et façons de le concevoir et de le vivre un soir avec passion, une relation pleine de sensations, l’entendre chanter par les grillons à la tombée de la nuit éclairée par les lampions et siffler par les pinsons dans un chêne sur un tapis de champignons au coucher du soleil tout au long des quatre saisons. Une excursion romantique, un rayon de tendresse pour le meilleur des amants “Cupidon”.

:ANGX: